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PONT de la TRINITÉ en Marchant par le pont de la Trinité nous nous trouvons à Saint Tomas de Villanueva et à San Luis Beltran, sculptures qui datent de de 1694 et 1693 respectivement, oeuvre de l'artiste genovés Ponzanefli et qui ont été placées jusqu'à 1906 dans le pont de San José. En 1947 ils sont restaurés et sont placés dans leur nouveau placement.
MONASTÈRE de la TRINITÉ Après avoir traversé le pont, nous pouvons voir devant nous deux des monuments les plus significatives notre quartier. À main gauche le Monastère de la Trinité appartenant en principe aux Moines Trinitarios, de là son nom, et actuellement Couvent de clôture de Franciscanas-clarisas. Ce Monastère a été fondé 1256 pour les soins du proche hôpital de San Guillem. Dans les 1445 les Reines Dª María, dont les restes reposent dans le cloître, après avoir remplacé aux Trinitarios par les Franciscains, construit un nouveau bâtiment. En soulignant par sa beauté le cloître gothique et son église de fins du siècle XV. cette dernière a été totalement couverte entre 1695 et 1700 par la décoration baroque que nous connaissons aujourd'hui. La porte d'entrée à l'église correspond à ce qui est gothique et dans leur tympan ils ont placé une copie de le je rôde de céramique italienne du siècle XV qui représente à la Vierge avec l'Enfant. Ce qui est original se trouve dans le Musée de Céramique de Valence. Dans l'église on vénère un tableau de Notre Dame Refuge de pécheurs.
MUSÉE de BEAUX ARTS SAN PIO V à main droite, conforme nous entrons dans la rue d'Alboraya, nous voyons celui qui a été collège de San Pío V pour ecclésiastiques plus petits. Fondé par l'Archevêque Rocaberti c'est un bâtiment baroque mais de grande austérité, disposé autour d'un cloître presque carré.
VUELTA de RUISEÑOR nous allons donner une promenade par les rues et les dernières cent années d'histoire de ce quartier. Commençons par le Retour du Ruiseñor, appelé ainsi parce qu'en d'anciens temps il a été chemin entre des jardins où on pouvait écouter les roulades d'un oiseau cantora tellement doux. C'était une zone très pittoresque par ses maisons de deux plantes qui à leur tour étaient ornées avec des plantes et des fleurs, on respirait une atmosphère familiale entre ses voisins qui se réunissaient à la lumière de ce qui est candiles et maintenaient de longues réunions entre amis.
Ont disparu beaucoup de commerces qui ont laissé pas à d'autres. Des commerces disparus comme la cordonnerie de D José Ferrer , célèbre par leurs santals, l'atelier de photographie d'Estanislao Vilaseca. d'autres ont été installés et continuent encore à donner couleur à notre rue comme meubles Machancoses, illumination Zaycu, la pharmacie de D Roig Salvateur et Dª Colombe Domínguez, le four du Carmen, le four Almenar, la Barre Click ou la papeterie Noverques, tous voisins de notre quartier.
Continuons à marcher par la rue Alboraya jusqu'à la rue Pintor Vilar, où nous apprécions le manque d'un ancien portalón qui a été démoli il y a quelques années et que tenia un intérêt plus visuel qu'artistique. Là même il existe une Résidence d'étudiants gérée par les Obreras de la Cruz Dans la partie droite de la rue et recayente aux Viveros, il a été où on trouvait anciennement le Verger des Fraises et en 1925 on a installé la Poterie artistique la Saguntina, entreprise qui a fermé ses portes en 1967, et sur les terrains situés duquel entre les rues de Pintor Vilar et la Place d'Avila on a levé plusieurs bâtiments.
STADE du VALLEJO A l'autre côté de la rue Alboraya, dimanche 29 novembre 1925 on a effectué la bénédiction du Stade de Vallejo, siège du Gimnástico F.C.. En concurrençant dans le parti inaugural contre l'équipement du Saguntino en étant le résultat de de six à à zéro pour le Gimnástico F.C. en marquant le premier objectif dans le stade inauguré le joueur Silvino Cervelló. Levante UD, en finissant la saison 67-68, a diminué à troisième Division, en ajoutant ceci à sa mauvaise situation économique. Le club a dû vendre 'l'à un domaine immobilier du Vallejo par un montant suffisamment important comme pour pouvoir solder ses dettes .
Il a construit un stade capable de loger à 30.000 spectateurs dans la zone d'Orriols, proche à Alboraya. Et ainsi 'il est comme a disparu actuellement le stade du Vallejo en faisant place aux grands bâtiments existants.
PONT de FUSTA Et pour terminer notre promenade par le quartier de la Trinité, nous ferons un petite il fait le compte rendu au Pont de Bois. Ça a initialement été une passerelle fer et planches, ce pourquoi populairement lui on connaît comme Pont de Fusta. Il a été détruit par celle riada de du 57, en se retournant s reconstruire sur base de béton et de fer. Ce pont fait place à d'immenses contingents de voyageurs qui, dans défilé constant, vont à l'Estacioneta. Très près il était le Moulin de la Trinité qui dans la décennie de des soixante a fonctionné comme Cinéma et terrasse d'été.
Comme le lecteur pourra peu vérifier le quartier de la Trinité il doit voir avec ce quartier d'avant celle riada, jusqu'aux même habitants de l'ancien quartier ils se sont étonnés de la transformation qui a souffert la rue Alboraya et ses adjacents de ces affaires qu'il y avait il y a longtemps, peu restent, beaucoup de d'eux ont été transformés par les successeurs et d'autres en voyant le potentiel du quartier on a voulu établir entre nous, le quartier compte toutes les classes de services commerciaux, financiers, médicaux, religieux, des centres d'enseignement, de la maison des lieux ludiques retraité et de loisir, tout le quartier est cloués dans un lieu de privilège à des bords et les jardins du Turia, étant un quartier moderne et prospère, qui même en étant près du centre de Valence dispose vie propre, en ayant su conserver et inculquer aux nouveaux habitants la saveur des coutumes de d'il y a longtemps
Velazquez... et le nôtre peintres de Valence plus prestigieux comme Sorolla ou Benlliure. Actuellement on mène à bien des oeuvres extension et restauration Au début de siècle le noyau de logements se concentrait autour de couvent et aux dos du musée. Là, entre le Vuelta de Ruiseñor et le Corralot a été où est né l'actuel quartier . http://www.cult.gva.es/mbav
À l'entrée nous pouvions trouver le four de la Trinité. Le Retour du Ruiseñor avait une grande variété de commerces, on trouvait ainsi la verdulería de Catalina, les menuiseries de Car me lui Casaña et Hernando Bosquet, l'atelier d'orfèvrerie de Roman Fortea, ce qui est d'outre-mer de Remèdes, l'entrepôt la Chestana, et d'autres plus. Nous ne pouvons pas cesser de nommer le Verger de D Miguel Giner connu aussi par "le Jardin de San Miguel".
Retournons notre mémoire à la rue Alboraya, centre sans doute de ce quartier. La rue Alboraya jusqu'à la fin des années soixante était une rue étroite par laquelle il pouvait uniquement passer une voiture. Avec la réorganisation urbaine ont disparu beaucoup de logements et commerces.
PETIT PALAIS des TRENOR Après ces commerces on trouvait le jardin appartenant au petit palais de D Leopoldo Trenor, jardin qui a servi de cour d'agrément quand ce petit palais pas à être un collège régi par les Marianistas religieuses. Avec l'extension de la rue le jardin a disparu en étant fermé pendant de nombreuses années ce petit palais jusqu'à ce que vers le milieu des quatre-vingt-dix il ait été réformé par la Generalitat et ait été transformé un centre de paralysie cérébrale infantile.
COLLÈGE PIO XII Dans la rue Alboraya coin à Poète Bodría on trouve le collège Pío XII, ancien centre de formation de vocations ecclésiastiques de San José, appartenant à la Fraternité de prêtres Ouvriers Diocésains. Ce centre a été inauguré le 2 février de 1901. Entre les années 1932 et 1948 a été Séminaire Plus petit au service du Diocèse de Valence, mais toujours dirigé par les prêtres Ouvriers Diocésains. De nos jours il est consacré à l'enseignement de de 3 à 16 années.
MONASTÈRE de SAN CRISTÓBAL Est dans ce point de notre parcours par le quartier, quand nous nous trouverons, au début de la rue Poète Bodria, le couvent de clôture des Canónigas Réguliers Lateranenses de San Agustín, où on trouve l'image de San Cristóbal, à auquel c'est consacré celle-ci web.
RUE ALBORAYA la rue Alboraya a changé beaucoup dans celles dernières trois décennies, ses vergers, comme celui de Dº Pedro, celui de Gijon, et des maisonnettes de deux plantes sont devenues de grands bâtiments avec une grande activité commerciale dans ses plantes basses.
EGLISE et COUVENT du CARMEN en effet nous continuons à avancer par la rue Alboraya nous arrivons l'Église et le Couvent de Notre Dame du Carmen, dont le bâtiment date de fin du siècle XIX. On a commencé à construire ce temple durant l'année 1887 en étant inauguré dans 1891. Les oeuvres ont été à charge de deux architectes D. Manuel Giner et D. Joaquin M Belda. La décoration a été faite en style neoclassique et ordre corintio. Aussi la façade est de style classiciste en montrant dans une son hornacina principal image de Notre Dame du Carmen. Indiquer aussi sa coupole de tuile vidriada. Dans son intérieur il souligne la hotte de l'Enfant Jesus de Prague, cette image est oeuvre de Burgalat et datée de 1891. Sa festivité a lieu avec des actes religieux et ludiques au début du mois de juin. De manière égale a lieu chaque 16 juillet à Ntra. Dame du Carmen avec la procession traditionnelle qui parcourt les rues du quartier. Une grande splendeur ont eu ces festivités dans la décennie de des cinquante. Il ne manquait pas de de rien dans les jours chauds du mois de juillet, tracas, de processions, festeros, balcons ornés... en 1931 un important incendie a descendu la chambre forte en étant perdu la majorité de peintures originales de de cette dernière.
Il s'est transformé en Paroisse en décembre 1953, étant l'ordre décrété par l'archevêque de Valence Marcelino Olaechea.
À l'autre côté de la rue nous trouvons l'Institut d'enseignement secondaire Benlliure, bâtiment qui a été levé dans lequel il a été jardin des Capucins, et qui a été récemment reconstruit
CONFRÉRIE DE SAINT CHRISTOPHE DE VALENCE
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QUARTIER DE LA TRINITÉ |
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